Isabelle a exposé son travail récent à la galerie du 7 rue des Fossés, du 27 février au 9 mars. Huit pièces, témoignant de la richesse de sa palette d’écriture, ont proposé diverses thématiques et approches techniques. Les références culturelles explicites marquent la volonté d’appropriation d’œuvres, sources fructueuses d’un travail très personnel de réécriture. On rencontre Picasso, avec l’adaptation des Demoiselles d’Avignon, ou Henry Moore. Se côtoient également des ensembles – comme la meute de chiens – et des pièces isolées, reliées entre eux par la thématique de la fragilité, de la vulnérabilité des corps traduisant la complexité des sujets, humains ou animaux. Terres cuites patinées, supports de métal font partie de la mise en scène.